Adieu lumière...

Ton éclat dans la nuit
ce qui me amuse les soirées
celui qui me fait oublier que je suis triste
ennui
à la maison affolé

Cela maison je ne pus comprendre
ou je ne voulus pas entendre

Malgre tout, ce est notre dernière dîner
notre denière dîner souls
avec la nuit
avec cette maison
après tant de dîner-soirées...

Pas jamais je oublierai ton coeur
très glacé
mais toujour là, sous mon fenêtre
jolie portrait qui me calmait
tout les jours de mon tourment

Cette dîner est "la denière"
la denière que partageons ensemble
pourtant nous devons aimer cette moment
pas jamais serons ici
avec la nuit
avec notres solitudes
avec ton coeur et mon tourment

Je ne peux pas jamais vous oublier
ton compagnie
ton lumière
avec mes nuits
avec mes tourments

Adieu, mon ami
mais je t'dis...

Pas jamais je t'oublierai





Anexo I

Última cena en el piso viejo con mi compañera del alma: la farola a la que miraba todas las noches desde mi ventana...
Como habréis podido deducir el asunto tuvo mucho de ritual. Siempre me gustó mucho esa farola, ahí escondidica entre un río y su vegetación, bajo un puente... hecha de metal, con su luz amarillica... podría estar en algún callejón de París o de Praga... pero no, estaba en un caminico perdido a la vera de un riachuelo bajo los suburbios de una capital de provincia hispánica... para mi fortuna.
Si el que suscribe fuese un pintor romántico indudablemente la habría "inmortalizado" en uno de mis cuadros... he intentado hacerla fotos, incluso de cerca, pero lo cierto es que ninguna le hace justicia...


Anexo II

Ni que decir tiene que se aceptan correcciones al intento de lirismo en la lengua de Voltaire...